LES 10 PRODUITS SIMILAIRES AU PRODUIT N°30321

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Le secret des sumosNouveau : Est-il possible de faire le grand écart, affiner sa silhouette et muscler son corps en profondeur en seulement 12 minutes par jour et sans matériel ?
Si vous voulez être plus souple, faire disparaître vos courbatures et vous détendre l’esprit… 


Lisez ce texte jusqu’à la fin parce que je vais vous dévoiler comment un secret ancestral utilisé par les sumotoris (lutteurs de sumo) peut rendre vos muscles aussi souples que du caoutchouc.


Mais avant cela j’ai une question pour vous…


N’avez-vous pas toujours rêvé de :
✅ Vous libérer de vos douleurs musculaires
✅ Diminuer votre stress
✅ Développer une souplesse hors du commun


Le tout, sans passer des heures à vous étirer ou exécuter des positions de yoga très complexes.


Si tel est le cas...


Vous avez probablement déjà fait de la danse classique, de la gymnastique ou du yoga. Peut-être même que vous avez essayé le pilates.


Et il y a toujours dans ce genre de cours une femme qui fait tout mieux que les autres.


Elle réussit à faire des saltos et des rondades avec une grâce peu commune. Elle fait des grands jetés au bout de 3 mois de pratique. Elle semble avoir un gainage abdominal en béton armé.


Bref, tout lui réussit sans qu’elle n'ait besoin de forcer.


Alors vous essayez de faire pareil. 


Vous commencez à vous étirer tous les jours. Vous travaillez votre mobilité et votre équilibre. Vous vous échauffez avant chaque séance d'entraînement.


Mais, malgré tous vos efforts, vous n’y arrivez pas.


Et au bout de plusieurs semaines de souffrance, vous finissez par baisser les bras. Vous vous dites que vous n’êtes pas faite pour ce genre de sport. 


Que la souplesse c’est génétique (ce qui est faux mais on en parlera plus tard). 


Ou que votre morphologie, votre poids ou même votre âge est la cause de votre échec.


J’ai été dans cette situation. 


Enfin… le sport n’était pas le même. Mais la frustration de ne pas réussir à atteindre ses objectifs était bien là.


Et si vous lisez ce texte c'est que vous aussi vous vous êtes pris le mur froid de la réalité.


Et si vous êtes bloquée face à lui ce n'est pas parce que vous ne travaillez pas assez votre souplesse. Ni que vous avez une mauvaise génétique. Encore moins que vous êtes trop âgée.


En vérité, il vous manque une information cruciale que seuls les pratiquants du sumo connaissent. 


Un secret jalousement gardé par le Japon depuis plus d’un millénaire. Il permet à n’importe qui de faire le grand écart avec une facilité déconcertante.


Lorsqu’on pense au Sumo, on imagine tout de suite des hommes en obésité morbide se battant presque nu dans une arène.


Mais avez-vous déjà observé un de leurs combats ?
Aussi gros soient-ils, ces combattants peuvent développer une force impressionnante. 


Ils ont aussi une tonicité musculaire qui contraste grandement avec leur apparence.


Mais le plus surprenant reste leur souplesse. Ces géants avoisinant parfois les 200 kg sont capables de faire le grand écart sans effort.


Comment est-il possible qu’un corps aussi massif soit aussi souple ?


La réponse se trouve en partie dans la place que tient le sport dans la culture japonaise. 


Mais avant tout, je pense qu’il est nécessaire que l’on fasse un peu plus connaissance.


Donc...Laissez-moi me présenter
Bonjour, je m’appelle Sébastien Robineau.


J’ai 43 ans et je suis bien plus souple et énergique que la plupart des hommes de mon âge. Pourtant, il y a quelques années j’étais exactement comme vous.


Voici mon histoire...


Je pratique la boxe française depuis 24 ans.


Un jour, lors d’une compétition à Lyon, j'ai senti une raideur inhabituelle dans le bas du corps. Ne voulant pas abandonner pour si peu, j’ai quand même décidé de monter sur le ring.


Lors de l’une de mes tentatives de placer un coup de pied à la tête de mon adversaire… J’ai senti une immense douleur me parcourir l'arrière de la cuisse et remonter jusqu’en bas du dos.


Stoppé net dans mon mouvement, mon adversaire en a profité pour me placer un violent crochet dans la mâchoire.
J'ai pris un KO
J’étais allongé sur le sol. Du sang dans la bouche. La tête qui tourne. Et cette douleur insupportable dans la jambe qui me donnait l’impression qu’on essayait de me l’arracher.


Les membres de mon club, avec qui je m’entrainais depuis des années, étaient là. Ils me regardaient ramper sur le ring. 


Humilié, incapable de continuer, j’ai dû déclarer forfait.


J’ai vu dans le regard de mes enfants qu’ils ne comprenaient pas pourquoi leur père était incapable de marcher.


J’ai dû demander à ma femme de m'emmener à l’hôpital de toute urgence.
Après de nombreux examens, le verdict est tombé. Je venais de me déchirer les muscles de l'arrière de la cuisse. Les médecins m’ont annoncé que ça me prendrait des mois pour marcher à nouveau.


Ma carrière en boxe française était compromise.


Pourtant, je pensais avoir fait tout ce qu’il fallait. 


Je m'échauffe avant chaque entraînement. Je ne cherche jamais à trop forcer quand j’ai des courbatures. Je m’applique à faire des mouvements corrects… C’est comme ça qu’on évite les blessures non ?


Le problème c’est que…Je ne connaissais pas la clé d’un bon étirement
Si j’avais su à l’époque tout ce que je sais aujourd’hui…


J’aurais pu éviter cette terrible blessure qui m’a fait perdre presque 1 an de ma vie et a failli me rendre handicapé.


Et je vais vous révéler tout ce que je sais dans les prochaines minutes qui vont suivre…


Mais avant, je dois vous expliquer la cause de mon ignorance. Pour que vous ne fassiez pas les mêmes erreurs que moi.


Suite à ma blessure, mon entraîneur est venu me voir. Il n’avait aucune solution pour moi.


Étant cloué au lit et n’ayant plus rien à perdre, j’ai commencé à lire des études sur les blessures dans le milieu sportif.


Mes recherches m'ont amené à comprendre que pour les éviter il faut s’assouplir.


Une fois guéri... j’ai passé huit mois à essayer 17 méthodes d’étirements différentes.


Que ce soit à froid. Entre les séances avec des étirements statiques. Durant l’échauffement avec des étirements dynamiques. En utilisant des méthodes venant du Yoga…


Aucune de ces méthodes ne m’apportait des résultats concrets.


En persistant dans mes recherches j’ai noté le fait que la souplesse est un sujet très mal connu. Que ce soit les médecins, les sportifs de haut niveau ou les entraîneurs...


Tout le monde a un avis différent sur la question.


Le problème c’est que cette méconnaissance du sujet a un véritable impact.


Les arts martiaux, la gymnastique et la danse sont les trois sports avec le plus d’abandon chez les adolescents (respectivement 33%, 29% et 27% des pratiquants).


Or, ces 3 sports sont parmi ceux qui demandent le plus de souplesse pour être pratiqués efficacement.


Ainsi, chaque année, des milliers de personnes abandonnent leur pratique sportive favorite


Elles perdent leur motivation et laissent de côté leurs espoirs.


Constatant que le manque de flexibilité était un problème majeur qui touchait beaucoup de sportifs, j’ai donc décidé de persévérer dans mes recherches.


Jusqu'au jour où je suis tombé sur un article scientifique étudiant la souplesse chez les sumotoris (lutteurs de sumo).Ce secret venu du Japon améliore votre élasticité musculaire, lutte contre le stress et soulage vos courbatures
Dès le premier jour j’ai gagné 3 cm sur mon grand écart. 


Rien d’incroyable… Mais c’était bien plus que tout ce que j’avais testé jusqu’ici. 


C’est à cet instant que j’ai compris que si je n’arrivais à rien jusque là c’était parce que mon entraîneur ne connaissait pas ce secret.


Je ne peux pas lui en vouloir, le Japon a longtemps été isolé du reste du monde. Et ce n’est que depuis très récemment que leur culture s’ouvre au monde extérieur.


Cela explique aussi pourquoi le grand public n’est pas au courant. 


Vous me direz qu’au moins nos scientifiques devaient connaître cette information depuis un moment.


Sauf que je ne vous apprendrais rien en vous disant que le corps humain est une machine très complexe.


Donc si celui qui découvre quelque chose de nouveau sur le sujet ne transmet pas l’information, il est possible que le reste du monde ne fasse la même découverte que dans plusieurs siècles.


Après avoir compris cela, j’ai décidé de pousser mes tests beaucoup plus loin.


Et c’est alors que...J’ai commencé à avoir des résultats massifs
Le septième jour, je sentais mes tensions réduire petit à petit et la mobilité que j’avais avant ma blessure revenir.


Une semaine plus tard, j’arrivais à toucher le sol lorsque je me penchais pour m’étirer. Chose que je n’avais plus réussi à faire depuis mes 35 ans.


Le vingtième jour, j’arrivais à me coucher complètement sur ma jambe lors des étirements assis.


Et au 30ème jour de mon nouveau protocole d’étirements, j’arrivais enfin à atteindre un objectif que je m’étais fixé il y a plus de 20 ans, avoir le grand écart.


Cependant, je n’ai pas voulu crier victoire trop vite :
⚫ Peut-être que j'avais simplement une bonne génétique.
⚫ Peut-être que j'étais spécial depuis le début.
⚫ Peut-être que c'était un simple coup de chance.


J’ai donc décidé de vérifier si d’autres personnes parvenaient à progresser aussi rapidement que moi.


Et devinez quoi...Ca a fonctionné pour absolument TOUT LE MONDE
On pense souvent que la souplesse est génétique. 


Que Jean Claude Van Damme est une exception de la nature.


Que la morphologie joue énormément.


Que c’est comme l’autorité, certains sont nés avec, d’autres non.


Qu’avec l’âge on devient raide comme un manche à balai.


Je le pensais aussi avant.


Mais tout cela est en fait très exagéré.
Il existe effectivement une pathologie de la tête du fémur appelée Coxa Vara. Cette dernière crée un angle de moins de 120 degrés au niveau de l’articulation de la hanche.


Comme vous pouvez le voir sur l’image ci-dessus, la tête du fémur qui a une coxa vara possède un angle trop restreint. L’os va alors taper contre le bassin beaucoup trop tôt et bloquer la jambe. 


Pour les personnes qui en sont atteintes, il est effectivement impossible de réaliser le grand écart facial. Néanmoins, j’y oppose deux arguments.


Premièrement, cette pathologie n’empêche pas de réaliser le grand écart latéral. 


Car, comme l’explique Christophe Carrio, quintuple champion du monde de karaté et préparateur physique émérite : “Tout le monde peut effectuer le grand écart latéral… car l’architecture de la hanche est conçue pour cela”.


Deuxièmement, moins de 1% de la population mondiale est victime de cette pathologie. La grande majorité d’entre vous pourra donc faire les deux grands écarts sans soucis.


Toutes les femmes peuvent donc s’assouplir et progresser rapidement. Peu importe votre âge, votre poids, votre morphologie ou même le sport que vous pratiquez.


Mais le mieux avec cette méthode, c’est qu’elle apporte des bénéfices supplémentaires.


Je ne m’en étais pas rendu compte au début. Mais je me fatiguais de moins en moins durant mes séances de sport.


Voyant mes performances athlétiques augmenter de jour en jour, ma confiance en moi s’est beaucoup améliorée.


Enfin, je me sentais bien plus détendu qu’auparavant. Mon stress s’est évaporé et mes émotions sont devenues plus stables.
Bonjour Sébastien. 


Je tenais à te remercier de tout ce que tu m'as apporté à travers tes programmes. Tes routines pas à pas sont très précises et simples à mettre en place. A aucun moment je ne me suis senti perdu grâce à ton suivi. Au départ je ne croyais pas vraiment en ta méthode. Mais au fur et à mesure que j'ai appliqué tes conseils j'ai eu de plus en plus de résultats. J'ai hâte de voir les programmes finis pour voir ce que tu as rajouté.


-Hélène
Salut Seb !


Merci pour tes supers conseils. T'as vraiment assuré. J'ai 39 ans et je ne m'étais pas senti aussi en forme depuis mes 22 ans. Samedi dernier j'ai fais le grand écart devant toute la famille. Ils en revenaient pas.


Antoine
Et dire que la solution était au fond de moi depuis le début. Elle est d’ailleurs en chacun de nous.


Puisqu’en vérité...Ce secret est directement caché au plus profond de votre système nerveux
Il est implanté dans nos gènes depuis l’aube de l’humanité.


C’est un mécanisme de survie du corps humain qui a permis à nos ancêtres d’éviter de terribles blessures et qui nous protège encore aujourd'hui.


On ne sait pas comment, mais les lutteurs de sumo ont appris à l’utiliser pour devenir très souple malgré leur masse corporelle hors norme.


C’est ce qui leur permet de faire le grand écart aussi facilement, d’être explosif malgré leur poids et de développer une puissance hors du commun lors de leurs combats.


Si vous savez utiliser correctement ce mécanisme que tous les êtres humains possèdent…


Alors vous pourrez améliorer votre récupération musculaire.


Faire le grand écart avec une facilité déconcertante.


Et même soulager vos courbatures et vos tensions musculaires.


En fait, il est absolument indispensable de connaître ce blocage neuromusculaire si vous souhaitez vous assouplir sans risquer une élongation, un claquage, voir pire, une déchirure musculaire.


Car vous devez savoir que…Les étirements que vous faites sont un véritable danger pour votre santé
En effet, une méta-analyse menée par le Dr Shrier, spécialiste en médecine sportive, a démontré que des étirements statiques avaient un effet antalgique. En conclusion, vous pourrez aller plus loin dans l’effort et risquer des blessures encore plus graves sans même vous en rendre compte.


Et une autre étude du docteur Lally conclut que les étirements entraîneraient 35% de blessures supplémentaires aux coureurs lorsqu’ils réalisent des étirements avant une course longue distance (marathon).


Ne pas connaître la bonne manière de s’étirer peut donc vous amener à de graves blessures et mettre un terme définitif à votre pratique sportive. Comme ça a failli être le cas pour moi.


Il est donc indispensable de connaître la bonne technique pour s’étirer.


Vous pensez peut-être que c’est un savant mélange de positions très complexes et d'un entraînement long et rigoureux. 


Il n’en est rien.


Mais avant de vous révéler la raison n°1 qui vous empêche de vous étirer correctement…


Il faut que je vous explique quelque chose d’indispensable : 


La longueur de vos muscles ne changera jamais. Même si vous les étirez pendant des années.


En effet, si l’on prend l’exemple des bodybuildeurs, ces derniers doivent adapter leur programme en fonction de la longueur de leurs muscles ainsi que leur insertion.


Selon votre morphologie, vos muscles seront plus ou moins longs.


La bonne nouvelle, c’est que peu importe vos insertions…


Vos muscles sont déjà assez souples pour faire toutes une palette de mouvements très amples.


Par exemple, le grand écart demande aux muscles sollicités de s’étirer jusqu’à 108% de leur taille maximale.


Or, selon Béatrice Cahors, kinésithérapeute à Marseille et spécialiste de la souplesse, les muscles peuvent s’étirer jusqu’à 150% de leur longueur au repos.


Ce n’est donc en aucun cas la longueur de vos muscles qui vous empêche de vous étirer correctement.


La raison principale de votre manque de souplesse est en fait…Un réflexe de survie ancestral
C’est un mécanisme naturel de notre corps qui empêche nos muscles de s’étirer brusquement.


On l’appelle le réflexe myotatique.


Pour faire simple, lorsque vos muscles s’étirent au-delà de ce à quoi ils sont habitués (en l’occurrence quand vous tentez de les étirer), votre système nerveux s’affole.


Il va alors envoyer un signal à votre moelle épinière, qui va à son tour donner l’ordre à vos muscles de se contracter pour stopper le mouvement et éviter une blessure potentielle.


C’est le réflexe myotatique.


Votre système nerveux et vos muscles refusent d’approfondir l’étirement. C’est pourquoi il vous est impossible de faire le grand écart dans de telles conditions.


LA bonne nouvelle, c’est qu’il est possible d’annuler ce réflexe.


Pour empêcher le réflexe myotatique de s'activer vous devez simuler une contraction musculaire.


Sauf que les muscles à contracter lorsque vous faites le grand écart sont ceux du plancher pelvien. Ils se situent au niveau de votre bassin.
Et la plupart des étirements ne ciblent pas les muscles du plancher pelvien. Vous ne savez donc pas les utiliser et ils ne sont pas assez forts pour simuler une bonne contraction musculaire.


Il vous est donc impossible d’annuler le réflexe myotatique efficacement.


C’est là où se joue toute la différence entre mon protocole d’étirements et les méthodes classiques !


L’avantage supplémentaire, c’est que renforcer les muscles du plancher pelvien apporte des bénéfices insoupçonnés.


En effet, selon une enquête de Cochrane (organisation internationale de référence dans le domaine de la santé), le renforcement pelvien est 8 fois plus susceptible d’apporter une guérison de l’incontinence comparé à une absence de traitement.


Alors, je sais que c’est un sujet fâcheux pour la plupart des femmes. 


Mais, selon une étude conjointe de 6 docteurs et urologues menée en 1998 sur plus de 1700 femmes, 17,8% des femmes de moins de 40 ans sont sujettes à des fuites urinaires. Ce chiffre monte à 38,5% après la quarantaine.


Et parmi toutes les causes, l’incontinence urinaire lors d’un effort physique représente près de 45% des cas. Ce qui veut dire que même les sportives sont sujettes à ce genre de problème puisqu’elles ne renforcent pas correctement leur plancher pelvien.


Mais maintenant, vous aussi vous pourrez utiliser ce protocole d'étirements que moi et mes élèves ont appliqué... et protéger votre santé sur le long terme.
Puisque je vous présente mon NOUVEAU programme d’étirements :LE PROTOCOLE S
Avec le Protocole S :
      

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